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Archives mensuelles : juillet 2016

Le Canadien de Montréal déménage son club-école de Terre-Neuve à Laval. Pourquoi je vous parle de ça? Parce que figurez-vous qu’ils font un concours pour trouver le nom de l’équipe. En ce sens, une vieille idée, pourquoi ne réaliserait-on pas la même démarche pour trouver un nom à la place qui émergera, du réaménagement du quai 2? Bon, vous le savez, je vote pour Place des Saurelois. Vous?

Tant qu’à être dans les concours, pourquoi ne pas utiliser une démarche similaire pour se trouver un gentilé à nous, comme citoyens et citoyennes de la ville de Saurel? Ça s’appelle comment, une vieille question, un citoyen de la ville (au nom artificiel) de Sorel-Tracy? Surtout que « sorelois-soreloise » ne veut rien dire pour les gens de la Rive droite de notre ville. En fait, pour former une vraie équipe à Saurel, il nous faut un vrai gentilé. C’est simple. Sinon, pourquoi par exemple, Bergevin et Molson se forceraient pour trouver un nom au club de Laval?

Pourquoi pas les Laval de Laval, un nom qui se lit dans les deux sens? On appelle ça comment? Un palindrome.

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Parlant du Canadien

Intéressante lettre ouverte ce matin dans La Presse + de ce jour : Le désastre Subban. Fidèles lecteurs, vous vous souviendrez que votre humble blogueur avait écrit qu’il n’aurait jamais échangé PK; surtout pas pour un joueur de 31 ans. Je vous le rappelle, mon opinion, PK avait surtout besoin de l’aide d’un bon psychologue sportif; PK devait être géré comme un pur-sang, pas comme une brebis. Bref, je vous suggère cette lecture, ne serait-ce que pour examiner une autre facette du coaching.

Cette lettre ouverte est d’autant plus intéressante qu’elle parle du rôle de la presse sportive montréalaise dans le dossier PK. On ne peut s’empêcher de faire des parallèles avec nos propres médias locaux. C’est donc pour votre réflexion gens des médias locaux.

Le train, la Caisse et les dépassements

Autre sujet de réflexion et surtout, pour faire des parallèles avec ce qui ce qui pourrait se passer chez-nous, si nous ne sommes pas vigilants. Dans La Presse + : http://plus.lapresse.ca/screens/9fc5e44c-fb9f-4594-9376-702e7165f28b%7C_0.html

Pour ceux et celles qui aiment les grands projets

Impressionnant : 5 années d’extension du Canal de Panama immortalisées dans un timelapse de 2 minutes. Cela pourrait donner des idées au photographe Maurice Parent qui est à photographier l’évolution des travaux pour l’aménagement de la Place des Saurelois.

Parc éolien Pierre-de Saurel (PEPS)

PEPS vient de publier ses « Résultat des mesures de vent pour les six premiers mois de l’année ». Intéressant, plus ou moins. À ce moment-ci du projet, nous citoyens, ne pouvons plus rien faire. Alors, il ne nous reste plus qu’à attendre le premier chèque des profits annoncé pour juin 2017 en se croisant les doigts. Souvenons-nous, il peut effectivement y avoir du vent et des revenus, ce que ce communiqué nous dit; ça, on le savait. Mais ce que l’on sera plus tard (sera-t-il trop tard?), y aura-t-il des profits? À suivre.

Principaux courants et théories économiques

Pour ceux et celles que ce genre de sujet intéresse. C’est une vision synthétique sur une page : http://www.monde-diplomatique.fr/cartes/courantseco

Financement du pont de Saurel-Berthier

Même si nous n’entendons moins parler de Luc Poirier des Investissements Luc Poirier avec son projet de pont, je me suis laissé dire qu’il est très actif dans notre coin de pays, notamment au niveau des transactions immobilières.

On sait que, selon les mots mêmes de Luc Poirier, l’État devra participer obligatoirement au financement du projet de pont pour le réaliser. Alors, si la Caisse de dépôt et placement du Québec se lance dans les trains électriques avec le financement gouvernemental, si « La FTQ veut construire des écoles primaires » selon un modèle d’affaires qu’elle présente dans cet article, alors pourquoi ne pas financer le pont Poirier?

Slide King à Saurel

C’est cette fin de semaine à Saurel. Une initiative de citoyens de la place, espérons qu’il fera beau et chaud.

Ceci étant, et j’ai vu des commentaires en ce sens sur Facebook : Ce n’est pas donné. Rappel, selon les 2 Rives : « Le coût de passage pour une glissade par personne est de 10 $. Le forfait à accès illimité s’élève à 25 $. »

Bref, avant de mettre « Ti-Pit » dans Slide King, comme parent, j’y regarderais 2 fois. Je ne présume de rien ici. Je voudrais simplement voir avant. Ce qui est un comportement normal de parent, surtout en terme budgétaire, en tout cas, je crois.

Des idées pour Saurel

Un aimable lecteur m’a envoyé cet hyperlien : Le Festival international de pétanque s’ébranle à Trois-Rivières. Encore une fois, le dynamisme des gens de Trois-Rivières est à l’honneur.

Écomonde 2.0 (E2.0)

Parlant de dynamisme, est-ce que quelqu’un a entendu parler des résultats des propositions supposément déposées le 22 juin 2016 dans le cadre de Écomonde 2.0? Souvenons-nous que la ville de Saurel a déjà identifié le tout comme des « espaces d’émerveillement » et que le maire de Sorel, mon ami Serge Péloquin, a qualifié le tout de « WOW » éventuels, lors d’une entrevue radiophonique récente. Bref, on attend toujours le dévoilement de notre Graal local.

Rappelons que le promoteur de ce projet est le Regroupement indépendant pour la relance économique de la région de Sorel-Tracy (RIRÉRST). En tout respect pour le RIRÉRST, je leur suggère de changer de nom. D’une part, on n’est pas très indépendant quand on est obligé de se faire cautionner à hauteur de plus de 4 M$ par la ville de Saurel. De plus, outre Écomonde 2.0 toujours sur papier, le RIRÉRST n’a aucun autre projet pour de relance économique. Ceci étant, en bout de piste, le RIRÉRST bouge pour que les choses bougent à Saurel et il faut leur dire merci, ne serait-ce que pour cela.

Gardons le sourire! On fait dans le positif ce matin? Seulement sur ce blogue – Saurel dans l’univers – c’est aujourd’hui le 579e billet publié sur les affaires publiques de ma ville de Saurel. C’est de l’Amour en… ça!!!

Jocelyn Daneau, jocelyndaneau@gmail.com

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Y paraît que « Olivier Primeau, le propriétaire du Beachclub de Pointe-Calumet, est en colère contre les météorologues ». Ils accusent ceux-ci d’être exagérément négatifs et de nuire à ses affaires. Je ne sais pas s’il a raison, mais ce que je sais, c’est que la météo est à la fois une science tout aussi inexacte que par exemple, l’économie. Bon, on le sait, il faut toujours prendre les prévisions des météorologues et des économistes avec un grain de sel et ceux-ci argumenteront de leurs oracles, avec une marge d’erreur qui les sauve souvent, en ayant toujours le dos large. Bref, la Fête au centre-ville de Saurel fort intéressante dans les circonstances, a été elle aussi victime d’une météo à c… pour un mois de juillet, et ce n’est pas la faute des météorologues ni des économistes.

Malgré cette mauvaise météo, il faut immédiatement s’attendre à ce que dès aujourd’hui, certains ténors de notre politique locale crient au succès et au génie, relativement à la Fête au centre-ville de Saurel. C’est de bonne guerre, surtout en cette période électoraliste qui débute déjà, en vue de novembre 2017. Ils diront sûrement, pour se donner raison, qu’ils ont organisé une super-fête pour le dixième du prix d’une édition du Festival de la gibelotte.

En terme absolu, ils ont raison. Le problème c’est en terme relatif. On ne peut absolument pas comparer le présent événement au Festival de la gibelotte. Ce dernier étant un événement de portée extrarégionale, cité dans les médias nationaux avec un rayonnement conséquent. La Fête au centre-ville de Saurel, en tout respect pour ses artisans, a été un événement strictement local, d’envergure locale. Là où le Festival a gagné un Grand prix du tourisme en 2013, la présente Fête au centre-ville de Saurel malgré la bonne volonté de tout un chacun y compris les artistes présents, ne marquera pas notre imaginaire collectif par son côté innovateur. Ce n’est pas négatif de le dire, c’est simplement dans la nature de l’événement et de son budget. On peut même dire à coup sûr que les organisateurs ont fait le maximum avec les moyens qu’ils avaient et en ce sens : BRAVO!!! Ceci étant, on ne peut s’empêcher de penser que pour les adversaires du Festival, c’était un prix de consolation accordée aux citoyens pour calmer la grogne populaire.

Qui est venu faire son tour à la Fête au centre-ville de Saurel? Mes observations m’amènent à conclure à une participation à la fois très locale et majoritairement Soreloise. On peut même argumenter intuitivement qu’une majorité de participants provenaient à proximité des lieux géographiques de l’événement, tant il était facile de se stationner proche du centre-ville; tant les stationnements payants semblaient peu utilisés.

Doit-on envisager, notamment pour 2017, d’abandonner le Festival de la gibelotte pour dorénavant voir petit, avec la présente formule? J’espère que non. Le Festival de la gibelotte fait partie de notre image de marque et s’il est admis qu’il faut en revoir le concept, il ne saurait être question de l’abandonner. Doit-on envisager de déménager ce genre d’événement à la Place des Saurelois (c’est ainsi que j’ai baptisé le quai 2 nouveau)? J’espère que non? L’âme de ces événements se situe au centre-ville; on ne déménage pas une formule jadis gagnante et qui possède tout le potentiel pour le redevenir.

Par contre, par exemple, nous pourrions profiter des fêtes du 375e (est-ce le 352e? Le 15e?) de la ville de Saurel pour faire de 2017, une édition de transition avec le Festival de la gibelotte, en route vers 2018. Nous pourrions aussi profiter de l’ouverture prévue du théâtre Desjardins (ex-marché Richelieu) en juin 2017 pour joindre les 2 événements sous la forme d’un Festival culturel (je sais, je suis tannant avec mon idée de District culturel). Espérons donc que nos politiciens locaux seront capables de sortir de leurs petites guéguerres personnelles, pour s’élever au-dessus de la mêlée.

Au sujet de la présente Fête au centre-ville de Saurel, veuillez prendre avis que je vais demander par le biais de la loi d’accès à l’information, l’état des résultats de cet événement. En principe, dans une organisation professionnelle qui contrôle ses coûts, le tout devrait être finalisé d’ici 30 jours, dans l’attente du règlement des dernières factures. Je m’attends donc à une comptabilité rigoureuse, à coût complet, du temps de tous les employés que j’ai observés sur le site des festivités; surtout celui des professionnels de la ville payée à gros salaire et que j’ai vu employer comme manœuvre ou à se promener en cart électrique. On en reparle.

Sideline? Un groupe de musique local que j’ai bien aimé. C’était vendredi soir dans le Carré Royal. Bon rythme, il y en avait pour tous les goûts, de Pink Floyd avec une finale à la Plume Latraverse. Bravo les gars!

En terminant, en page 9 du journal La Voix de ce 8 juillet 2016, le Show de la rentrée d’Acton Vale s’annonce chez nous, notamment avec le groupe Simple Plan en vedette. Pourquoi?

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Vu vendredi soir sur les lieux de la Fête, souriant, la main tendue, le maire de Sorel. Sauf exception, il saluait tout le monde. Peut-être parce que je viens de Tracy, …

Saurel ma belle

Ce qui était vrai hier, notamment par facilité ou qui s’imposait par la force des choses, ne l’est pas nécessairement aujourd’hui ou pour demain. Dans le monde du 21e siècle, de plus en plus complexe, à géométrie variable et qui évolue tout aussi rapidement, l’avenir est à ceux et celles qui sont capables de se renouveler par eux-mêmes et aptes par leur leadership, à stimuler la réflexion et l’action chez l’autre.

Je dédie donc en ce dimanche matin pluvieux au conseiller municipal M. Yvon Bibeau, une jolie chanson intitulée Salut Saurel des élèves du troisième cycle primaire de l’école Saint-Gabriel-Lalemant : https://www.youtube.com/watch?v=Ew7De_NG03M&feature=share.

Gardons le sourire! La pensée du jour? Un peu sombre et triste, comme la météo de ce jour. En fait, elle me vient d’une personne, bien au fait de la dynamique saureloise, longtemps impliquée dans les affaires publiques, quoiqu’encore assez jeune, qui me disait récemment, un peu, pas mal désabusé par sa ville et ceux qui la dirigent, à propos de mon implication et de mes interventions, notamment sur Saurel dans l’univers : « Il y a des limites à vouloir aider des gens qui ne veulent pas s’aider ». J’avoue que cela résonne encore dans ma tête.

Sur une note plus joyeuse même si je suis en retard : BONNE FÊTE LUC LAMOUREUX!!! Mon réalisateur préféré à MAtv. Longue vie et en santé!!!

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Jocelyn Daneau, jocelyndaneau@gmail.com

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Depuis plusieurs années, je porte une attention particulière au Tour de France diffusée présentement chaque matin sur RDS. Ainsi depuis 1952, le Prix de la Combativité Antargaz est décerné à un cycliste pour l’étape du jour, chaque jour, pour ses valeurs essentielles au cyclisme : l’audace, le dépassement de soi, l’abnégation, le courage et la pugnacité.

Alors, en ce jour, le comité de rédaction de Saurel dans l’univers a décidé de remettre son propre prix de la combativité à M. Jocelyn Mondou, conseiller municipal du Vieux-Saurel, pour son implication quotidienne dans son milieu de vie et surtout, pour l’honorer (lui et toute l’équipe) pour l’organisation et la tenue des Fêtes du centre-ville de Saurel.

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Crédit photo : ville de Saurel (photo de Phillipe Manning si je ne m’abuse)

Sans égard et aux résultats et pour l’avoir constaté personnellement, Jocelyn Mondou répond systématiquement présent chaque fois que l’on besoin de lui. Homme d’une grande disponibilité, il est aussi fortement engagé dans son milieu avec le souci de toujours donné son 110 %. Bref, Mondou, il est partout, tout le temps, debout.

Pour votre réflexion : On dit souvent que la rémunération des politiciens est inadéquate, surtout en terme global. Sujet délicat s’il en est un, comment rémunérer adéquatement un individu en fonction de la lourdeur et de la complexité de la tâche, etc. par comparaison de ses collègues. Tout ça pour vous dire que les conseillers municipaux de la ville de Saurel reçoivent tous, une rémunération identique. Pourtant, le district du Vieux-Saurel apparait et de loin, pour de multiples raisons, le plus exigeant. On le sait, personne n’a jamais dit que la vie était équitable. Il n’en demeure pas moins que le conseiller municipal qui représente le Vieux-Saurel devrait avoir une rémunération supérieure à ses collègues. Ceci étant dit en tout respect des 7 autres conseillers. En ce sens, si nous voulions être équitables, il devrait y avoir à Saurel, un classement des districts selon leur niveau de complexité avec une rémunération appropriée, comme cela se fait dans n’importe quelle entreprise le moindrement sérieuse.

Choix stratégiques

Les faits : Le maire de Sorel, M. Serge Péloquin était absent lors du départ de la 34e édition de la Course du Festival de la gibelotte, le 6 juillet 2016. Motif invoqué par son cabinet : il assistait à une séance ordinaire des maires de la MRC Pierre-de Saurel.

Admettons que vous êtes LE conseiller stratégique du maire de Sorel, M. Serge Péloquin. Que lui auriez-vous conseillé dans l’après-midi 6 juillet 2016, dans le contexte de cette 34e édition, dont le départ était fixé à 19 h au 76 de la rue Roi. Notons, tous en conviendrons, que cette 34e édition était l’un des moments phares des Fêtes du centre-ville de Saurel, qui débutaient le 5 juillet 2016.

1) Être présent sur place pour encourager tout un chacun, ne serait-ce qu’en toute humilité, des plus de 900 coureurs et leurs partisans dont la très grande majorité sont ses concitoyens?

2) Être présent à la séance ordinaire du conseil des maires de la MRC Pierre-de Saurel qui se tenait à 20 h, à plus ou moins 5 minutes de marche du départ de la course?

Justifiez votre réponse?

Réponse de SDU : J’aurais grandement suggéré à Serge Péloquin d’être sur place, au minimum pour le départ de la course, qui se tenait à 19 h. D’une part, sa présence aurait été un signal fort d’appui au Festival et à sa pérennité. Cela aurait été aussi un geste aussi fort, de réconciliation avec les organisateurs du Festival, tous des bénévoles, eux qui ont souvent été vilipendés gratuitement par Serge Péloquin sur la place publique. Bref, le maire d’une ville se doit d’être rassembleur et au-dessus la mêlée; surtout dans le cas de Saurel où la structure de la population en fait souvent une grande famille. Le leadership par l’absence, cela n’existe pas.

Bref, Serge Péloquin aurait facilement pu faire le départ de la course à 19 h et se rendre ensuite aux bureaux de la MRC Pierre-de Saurel pour 20 h. Il aurait pu aussi se faire remplacer par un conseiller municipal (autre que Jocelyn Mondou et Patrick Péloquin, bénévole lors de la course).

Tout ça pour dire que l’absence du maire de Sorel lors de cet événement, compte tenu des circonstances, était un choix stratégique totalement inadéquat. À moins bien sûr, que tel était son intention avec les conséquences nécessairement induites par ce geste d’absence.

Vous cher lecteur, quelle est votre analyse?

Gardons le sourire! Selon André Compte-Sponville dans son célèbre dictionnaire philosophique (2001) à la page 221 : « Le courage est la vertu qui affronte le danger, la souffrance, la fatigue, qui surmonte la peur, la plainte ou la paresse. C’est la vertu la plus universellement admirée, sans doute depuis le plus longtemps, et d’ailleurs (avec la prudence) l’une des plus nécessaires. »

Jocelyn Daneau, jocelyndaneau@gmail.com

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360

C’était aujourd’hui, ce soir, l’annuelle course du Festival de la gibelotte. Nous étions, chiffre officieux, près de 900 participants.

Dernière heure – nous étions 899 personnes et maintenant (7 juillet 2016 à 15:08) selon la Bouche du cheval i.e. un courriel de remerciements collectifs du Festival de la gibelotte, plus de 950 personnes.

Belle organisation, le tout s’est déroulé très rondement. Il ne semble y avoir eu aucun blessé, du moins, je n’ai rien vu de particulier. À la fin, tout le monde était de bonne humeur, content d’avoir participé et donc, terminé.

Le trajet maintenant, pour lequel j’avais émis des réserves, notamment au niveau du passage dans le Parc industriel, secteur Tracy. Ben, je n’ai pas changé d’idée. Un parc industriel, c’est un parc industriel. Mais en bout de piste, ce n’est pas majeur, mais j’aurais aimé mieux les rues de St-Joseph de Sorel. Passons.

Ceci étant, au départ sur la rue Roi en direction des élévateurs à grain, devant les bureaux Benoit et Léo Théroux, Cabinet d’assurances et Services financiers, c’était un premier faux plat descendant qui surprend. Moi qui utilise ce chemin depuis toujours, surtout pour aller au Cactus, j’ai surtout fait attention de ne pas me laisser, à aller trop vite. Bref, on tournait ensuite à gauche en direction de la rue Reine, et vieux principe masculin, tout ce qui monte descend et inversement, nous avons eu droit à un premier faux plat montant; avant de tourner à droite devant le magasin Louise Péloquin.

Là, c’était la première ascension du Monstre, le pont Turcotte; ascension moins longue, donc plus abrupte, mais la course débutait, on était plus en forme. Ensuite descente, en ralentissant surtout pour mes battements de coeur de petit vieux de 57 ans et virage à gauche, en direction de la rue Vandal; passage devant la Légion canadienne et un premier point d’eau. Comme y faisait chaud et humide, c’était populaire. Désaltéré un peu, on s’est alors dirigé vers l’arche d’entrée de l’ex-Marine Industrie, symbole d’une autre époque qui a vu passer des milliers de travailleurs de l’industrie navale. Au passage, on a été accueilli par une brève et « bonne » odeur d’huile mélangée à du sable, caractéristique d’un terrain industriel fortement contaminé. Rien pour mourir, mais assez pour s’en apercevoir, surtout pour moi, qui a déjà eu une « jobine » dans le domaine du « shoutage » des autos à l’huile usagée. Bref, second faux plat montant et milieu de course pour sortir du parc industriel et se diriger vers la rue Cormier.

Passage devant les bientôt ex-bureaux de GE (Asltom) à sous-louer, bientôt aussi, le symbole d’une autre époque dont les emplois iront se réinventer ailleurs. C’est donc un virage à droite sur la rue Cormier pour se préparer, fatigué, à affronter le Monstre une seconde fois. Bref, une pente moins abrupte et plus lente, comme une seconde fois en fait. Le défi là aussi, a été d’avoir du souffle jusqu’au sommet. Pour ensuite redescendre en reprenant son souffle, pour tourner sur la rue Roi en direction de la fin : 5 km.

Merci à la pomme que l’on m’a offerte, la bouteille d’eau et ensuite, une petite canette de bière.

Je fais de la course à pied depuis le mois de mars 2016 en suivant rigoureusement, le programme Courir au bon rythme. C’était mon premier 5 km sérieux en groupe. J’avais 2 objectifs, quoique j’avais déjà fait des 5 km dans mon entraînement solo : terminer le parcours non-stop. Je visais entre 33 et 35 minutes. J’ai fait, selon mon propre chronomètre, le tout en 34 minutes 48 secondes. Je suis bien content de ma journée.

Dernière heure – mon temps officiel : 34 minutes, 44 secondes

Je vais donc continuer à m’entraîner et j’ai pris beaucoup d’expérience de cette première course dans des rues que je croyais connaître, depuis mon enfance.

Merci aux organisateurs, une bien belle soirée!

Gardons le sourire! Est-ce que quelqu’un a vu le maire de Sorel, M. Serge Péloquin sur les lieux de la course? Moi, aucunement. De même, je n’ai pas vu la reine de la rue Reine en y passant, cette chère Corina Bastiani.

Dernière heure – La ville de Saurel par le biais du cabinet du maire Péloquin, m’informe que ce dernier assistait hier soir, à une séance de la MRC Pierre-de Saurel.

Jocelyn Daneau, jocelyndaneau@gmail.com

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Alors, récemment, nous avons eu droit au « Saurel à vendre » et depuis hier, à une autre tranche illustrative de notre déclin économique comme ville et région.

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Saurel dans l’univers ne se fait pas une spécialité de faire dans le négativisme local et régional. Ce n’est pas le genre de la maison. La mission de SDU, c’est de porter un regard lucide et sans complaisance sur les affaires publiques dans la grande région de Saurel et sur leur évolution prévisible, sans état d’âme.

Tout ça pour dire que si vous voulez plus d’information sur le concept d’Économie forte et réinventée, je vous invite à suivre le lien suivant : https://jocelyndaneaudotorg.wordpress.com/wp-content/uploads/2013/11/dc3a9pliant-c3a9lectoral-2013-serge-pc3a9loquin.pdf

Ce qui est grave avec cette photo, c’est qu’au-delà de sa signification profonde et à court terme, c’est que dans le long terme, chaque jour, avec chaque passage d’un citoyen ou autre sur le chemin St-Roch, c’est cette image d’abandon qui s’imprègnera dans l’imaginaire collectif. Ce panneau « À sous-louer », stratégiquement bien situé devient malgré nous, une partie de notre image de marque. Il faudrait peut-être en prendre collectivement acte.

Alstom à Saurel

Le conseil municipal de la ville Saurel à sa séance du 4 juillet 2016 a donné son appui (le contraire aurait été saugrenu) à Alstom Transport dans le cadre du projet de train électrique de la Caisse de dépôt et de placements du Québec. Bref, pour les derniers développements concernant cet appel d’offres : Train électrique de la Caisse – Des travaux de construction de 4 milliards, La Presse plus, 5 juillet 2016.

Le pont Saurel-Berthier

Technique de construction à la Chinoise : https://www.youtube.com/watch?v=PbaD2-2Ktwc

Parc éolien Pierre-de Saurel (PEPS)

Rappel – vidéo construction : https://www.youtube.com/embed/84BeVq2Jm88?feature=player_detailpage. Un des grandes différences entre ce vidéo et PEPS se situe au niveau du pieutage des fondations de béton. Dans le cas de PEPS, la nature du sol exige la pose de pieux.

Le maire de Sorel, M. Serge Péloquin nous a rappelés hier dans son mot de la fin de la séance du conseil municipal, que dans le cadre de la réalisation du projet de PEPS, que le bonheur est dans le pré. J’ai bien hâte de voir le premier chèque qu’il a annoncé pour juin 2017. À suivre.

Marché Richelieu

Le contrat pour la rénovation du marché Richelieu a été attribué le 23 juin 2016 en catimini à la firme AXIM Construction inc. Il était temps.

Ceci étant, par respect pour tous les citoyens et citoyennes qui ont contribué en 2012 à l’avènement de ce projet de rénovation, en particulier les membres du Comité du OUI, il aurait été poli pour Azimut Diffusion, de publier un simple communiqué soulignant cette attribution.

Écomonde ou le monde à l’envers

Hier soir, le conseil municipal de concert avec l’autorisation du Ministère des Affaires municipales du Québec a approuvé un cautionnement de plus de 4 M$ pour le projet Écomonde 2.0.

Le problème, c’est que personne ne sait, au moment où l’on se parle, c’est quoi Écomonde. Est-ce que quelqu’un sait dorénavant de quoi il en retourne?

Électoralisme péloquinien

Petit rappel à tous, la prochaine campagne électorale municipale, c’est en novembre 2017 (pas en 2016). Alors débuter celle-ci immédiatement est un peu prématuré. J’invite donc (certains de) nos politiciens locaux a médité sur la photo du haut, avant de nous faire des envolées oratoires à l’emporte-pièce. Un peu d’humilité serait approprié. Si la photo du haut n’est pas suffisante, ils pourraient visionner celle de la Sincennes-McNaughton en flamme, se rappeler que le projet du quai 2 était là bien avant l’arrivée de la présente administration, qu’Écomonde n’est plus maintenant qu’un vague projet dont on ne sait rien, que la rénovation du marché Richelieu est en retard de plus de 3 ans et nous donnera un immeuble dénaturé et quoi encore… la gestion calamiteuse du dossier du Festival de la gibelotte, celle du transport urbain par camionnage avec Richardson,… Il y a des limites que la décence doit indiquer, à manipuler l’opinion publique à l’aide de la télévision communautaire.

Gardons le sourire! « La vérité est une puissance à laquelle rien de résiste et le mensonge est un démon qui recule foudroyé par l’éclat de la Raison. » Ibn Khaldun, dans Prolégomènes, historien, philosophe, diplomate et homme politique Andalous d’origine arabe (1374-1377)

Jocelyn Daneau, jocelyndaneau@gmail.com

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Citoyens et citoyennes engagé(e) s Sorel — Tracy : http://www.saurelois.org

J’ai lu (et écouté) avec attention les reportages concernant l’état d’avancement pour la réalisation du projet de Parc éolien Pierre-de Saurel (PEPS). Effectivement, je suis de l’avis du journaliste Stéphane Martin du SorelTracy Magazine (30 juin 2016), le tout fait un peu beaucoup, opération charme. Considérant qu’il faut toujours présumer de la bonne foi des individus dans toute relation, je vous encourage donc à lire l’article de CJSO sur le même sujet et à écouter l’entrevue proposée avec M. Frédéric Tremblay, directeur général de PEPS.

Quelques remarques

1) Considérant que l’ingénierie et la construction d’un parc éolien est une grande première tant pour PEPS que pour Construction Sorel une entreprise à l’excellente réputation, je suis toujours sceptique quand tout est annoncé par les principaux responsables comme allant bien, trop bien. De façon générale, les chantiers de construction n’ont pas réputation d’être des endroits idylliques, surtout pas pour une première; soyons sérieux. Surtout, qu’il y a des rumeurs persistantes de retards quant à la réalisation des travaux. Il aurait donc été intéressant que PEPS dépose des documents informatifs concernant l’état d’avancement réel du chantier, en regard de sa planification initiale et de la date de mise en service du 1er décembre 2016. De plus, si cela n’a pas été fait, il aurait été approprié que PEPS permettent l’accès des journalistes au plan maître du projet, notamment aux échéanciers de projet, éolienne par éolienne.

2) Pour l’instant, PEPS et Construction Sorel sont en territoire connu avec la construction des fondations. Cependant, ici aussi, des rumeurs de divergence proviennent du chantier, quant à la conception des fondations. Autrement dit, on se questionnerait encore sur les techniques utilisées de conception des fondations en regard de la structure du sol « très argileux ». Bref, cette question est en suspend et il aurait été intéressant que les journalistes puissent avoir accès aux ingénieurs responsables, sans filtre. J’ose croire que si les travaux se poursuivent, c’est que la question des fondations est une fausse rumeur. Mais pourquoi celle-ci a-t-elle la vie si dure?

3) Les nacelles (les moteurs turbines) qui devraient déjà être sur un navire à destination de Saurel, ne sont toujours pas en fabrication en Allemagne. Celle-ci devrait débuter « la semaine prochaine » pour une livraison qui devrait débuter après le 12 août 2016. Sans vouloir être réducteur, nous ne sommes pas ici dans un contexte de « rocket science », mais dans celui d’un immense mécano. Ceci étant, il ne faudrait pas négliger qu’il s’agit d’un important défi de logistique de transport et d’organisation de chantier. En ce sens, les semaines et les mois sont généralement des espaces-temps qui passent toujours trop vite, surtout pour les optimistes.

4) Toute la question des coûts n’a pas été abordée par les médias. Disons que cela a rarement été une source de questionnement de la part des médias et de notre classe politique en général, depuis le tout début de cette aventure aux frais des contribuables, c’est comme ça. Ainsi, s’il y a un problème, comme la pénalité de 462 000 $ de 2015, les contribuables vont payer sans pouvoir poser de question et les politiciens responsables vont encore rire de nous, comme c’est le cas depuis le début de ce projet.

Bref, selon le DG de PEPS, monsieur Frédéric Tremblay, tout irait bien dans le déroulement de ce projet. En ce sens, nous devons donc nous attendre à ce que le 1er décembre 2016, les 12 éoliennes de PEPS soient « up and running » et que l’argent commence à entrer 60 jours plus tard c.-à-d. à la fin de février 2017. Mettons le tout à nos agendas pour questionnement, lors de l’assemblée de la séance du conseil municipal de la ville de Saurel du 7 mars 2017.

375e en famille

Je visitais cette semaine le site internet des Fêtes du 375e (ou 352e ou 17e, c’est selon votre degré d’interprétation politique de notre histoire locale) de la ville de Saurel (Sorel n’existant plus depuis 16 ans, on le sait). Je suis alors tombé sur la page de la Fête des familles fondatrices. Intéressante idée que celle-ci. Par exemple, les Daneau ont commencé à peupler la région de Nicolet-Pierreville autour de 1700 en provenance de Jard-sur-Mer en Vendée. Du côté de ma famille maternelle, les Arcand-Demers, ils sont originaires de St-Joseph de Sorel, quoique les Arcand se sont surtout établis dans la région de Deschambault, avec une bonne proportion en Mauricie. Comme plusieurs d’entre vous, je fais partie des familles fondatrices de la ville de Saurel et de la région, et je vais y mourir un jour, en paix et heureux.

Tout ça pour vous dire que je voudrais vérifier quelque chose avec vous. Est-ce que la jolie jeune famille photographiée sur cette page publicitaire du 375e est une vraie famille saureloise? Quelqu’un les connait?

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Je suis sous l’impression que non. Je suis aussi sous l’impression qu’il s’agit d’une photo catalogue; peut-être composée d’étrangers qui ne se connaissent peut-être même pas entre-eux. Bref, n’aurait-il pas été approprié, surtout pour cette page, d’y mettre une photo d’une véritable famille locale? Si quelqu’un a une réponse, pas de gène. De même, sauf exception, l’ensemble des photos des protagonistes utilisées sur le site du 375e ne semblent pas avoir un gros contenu local. Bonjour fierté!!!

Aussi, ce qui est discutable dans les circonstances, considérant qu’il y a suffisamment de photographes locaux dans la région et de familles fondatrices, pourquoi alors utiliser des photos bidons d’un Xavier Dachez, un photographe de Québec? A-t-il un lien quelconque avec Saurel, outre le fait que selon son profil Linkedin, il est photographe officiel de l’Hôtel-de-Glace de Québec depuis 1999? De même, est-ce que le photographe Pierre-Étienne Bergeron à un lien avec Saurel?

Bref, si je ne me trompe pas, le tout fait un peu ordinaire.

Les Fêtes du centre-ville

Ça débute le 5 juillet c.-à-d. dans 2 jours. Je suis passé ce matin dans le centre-ville et outre une ou 2 roulottes à bière, il n’y a rien qui laisse présager que le tout débute mardi matin après demain. Aucune tente n’est installée, aucune estrade, aucune toilette publiques, aucun… rien de rien. Effectivement, le tout sera d’une très grande simplicité. À moins que demain, par une opération logistique quelconque du St-Esprit, l’organisation se mette en branle, ce qui fera un très gros lundi dans ce coin de notre ville. On verra.

Course du Festival de la gibelotte

De ce côté aussi, pour cette course qui doit se tenir le 6 juillet 2016 en soirée, il n’y a rien d’apparent. Bref, un dimanche d’été ordinaire. Aucun tracé n’est indiqué. Il n’y a aucun avis de fermeture du pont Turcotte, ce qui est le cas généralement, quelques jours avant une fermeture pour réaliser des travaux d’entretien.

De plus, comme je suis inscrit au « 5 kilomètres », je n’ai reçu aucune instruction sur le sujet, concernant la logistique de l’événement. Le site Facebook de l’événement est pour l’instant muet sur le sujet. Il y a bien un hyperlien de disponible, mais pour le site du Festival de 2015.

La seule information disponible : https://evenements.sportchrono.com/inscriptions/les-courses-du-festival-de-la-gibelotte-39-edition. Bref, où et à quelle heure devons-nous nous présenter sur le site?

Considérant qu’il y aurait à ce jour, 714 inscrits, dont probablement plusieurs personnes extérieures de la région, il faudrait au moins faire un minimum pour les recevoir. Il ne faudrait pas que ces personnes retournent chez eux avec une mauvaise perception de ce que nous sommes. Bref, notre réputation n’est déjà pas « top niveau », il ne faudrait pas s’organiser pour en rajouter. Je veux bien faire moi aussi dans le positif comme Gary et ses amis, mais on le sait, une réputation prend des années à construire et peu pour la mettre à mal.

Gardons le sourire! Expérience très malheureuse cette semaine dans un commerce local, pour votre humble serviteur, en matière de service à la clientèle. Il faut vouloir acheter local pour supporter le fait de m’être fait traiter quasiment de voleur. Je ne veux pas en rajouter, mais le marchand-propriétaire m’a accusé sans nuance d’avoir moi-même brisé le bien en question, à l’ouverture de la boite. Bref, cette semaine, j’ai rencontré un marchand local t… de c… Ne nous surprenons pas si les gens achètent à l’extérieur de la région. Dans mon cas, la prochaine fois, Costco à Boucherville fera l’affaire. Et à chaque fois que j’ai eu un problème avec un article de Costco, le service à la clientèle a été numéro un.

Soyons positifs comme le chante Gary : « J’aime toujours autant le parc du Carré Royal, l’un des plus beaux au Québec ».

Jocelyn Daneau, jocelyndaneau@gmail.com

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Nous ne pouvons qu’être d’accord avec les efforts consentis par le maire de Sorel, M. Serge Péloquin, concernant la gestion de nos ressources en eau potable, notamment dans la décision de la ville de Waukesha aux États-Unis, de s’approvisionner dans le Lac Michigan. Effectivement, la question de la rareté de l’eau potable à l’ère du réchauffement climatique global, risque avec les années, d’être l’un des principaux enjeux planétaires.

Ceci étant, deux réactions à propos du commentaire du maire Péloquin sur le sujet, dans les 2 Rives (29 juin 2016) : « C’est un premier pas vers une bataille de l’eau potable »

1) Mieux vaut tenter de régler un litige par la négociation que par l’affrontement. Le terme « bataille » est donc utilisé ici, de façon inadéquate. La bataille comme la grève par exemple, sont des moyens ultimes à utiliser quand il n’existe plus d’autres issus. Parce qu’après, il ne reste plus rien, c’est la terre brûlée. C’est un principe de base en matière de négociation. Comme le dirait Sun Tzu : « La plus grande victoire, c’est de vaincre l’ennemi sans combattre ».

2) En terme de géopolitique et de géostratégie, la gestion de l’or bleu est examinée depuis de nombreuses années par tous les États, surtout ceux qui vivent de plus en plus de périodes de sécheresse ou qui possèdent comme le Québec, des importantes réserves d’eau potable. Avec nos voisins du Sud, les pénuries notamment en Californie et dans le sud des États-Unis, cela risque de s’accentuer avec les années. D’où l’idée de négocier bien avant de vouloir faire bataille. Parce que disons-nous-le, sans vouloir céder à la panique : les armes, l’esprit guerrier, la démographie et les pénuries d’eau sont au sud et l’eau est au nord protégé par des tire-poids.

Le pont Saurel-Berthier

Jolie esquisse diffusée (ci-après) par M. Luc Poirier des Investissements Luc Poirier. Ceci étant, j’ai été un peu surpris par ce design, notamment par le nombre de piliers utilisés. À l’oeil, sur le dessin proposé, j’en compte 10 de chaque côté du centre c.-à-d. une vingtaine au total. C’est donc similaire au design du pont Laviolette de Trois-Rivières.

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Ce qui m’amène à trois remarques parmi d’autres, sous l’hypothèse de cette similitude avec le pont de TR :

1) « Pour ce faire, estimons au « pifomètre » le coût de notre pont à 500 millions de $, minimalement. Le pont Laviolette (30 000 véhicules/jour) à Trois-Rivières a coûté 50 M$ en 1967. Sur la base de l’inflation, on parle de 340 M$ au 31 décembre 2012. Mais comme les contraintes de 2012 ne sont pas celles de 1967 (ex. : études environnementales), 500 M$ est une estimation minimale raisonnable. D’ailleurs, pour reconstruire le pont Champlain, on parle d’une facture de plus de 3 milliards $. » (Source : Pour en finir avec le mythe du pont libérateur, SorelTracy Magazine, 23 février 2012). Au 1er juillet 2016, le tout tournerait autour de 550 à 600 M$ auquel il faut ajouter les infrastructures d’accès. À ces niveaux de prix, dans l’article précédemment mentionné, j’avais démontré en annexe que ce projet ne serait jamais financièrement rentable, à moins d’une forte injection de capitaux des gouvernements. Est-ce que les gouvernements…. Poser la question c’est un peu y répondre.

2) Une vingtaine de piliers de béton dans le lit du fleuve St-Laurent à la hauteur de Saurel? C’est facilement et techniquement faisable. Ceci étant, toute la question environnementale, constamment évacuée des discussions concernant ce projet, n’est toujours pas abordée, notamment l’impact sur l’écosystème du lac St-Pierre. Si aucun politicien n’en parle, c’est peut-être parce qu’aucun de ceux-ci ne croit à faisabilité de ce projet.

3) Je vous invite à regarder dans le petit montage ci-haut: la vue aérienne avec Google Maps du pont Laviolette et toute la question des dégagements au sol requis pour installer un tel ouvrage. Bref, en terme d’expropriation, ce projet changera à tout jamais la configuration de notre coin de pays. Quand le pont Laviolette a été installé en 1967, c’était entre-deux nulle part. Est-ce la même chose en 2016 dans un milieu urbain comme Saurel? Non et le sujet risque d’être explosif. Bref, la question des expropriations dont personne ne parle actuellement devra être un jour abordée par les politiciens. Si aucun politicien n’en parle, c’est peut-être parce qu’aucun de ceux-ci ne croit à faisabilité de ce projet.

Bref, pour l’instant dans ce projet de pont Saurel-Berthier, on ne parle que de ces aspects idylliques. Il faudrait peut-être commencer aussi à parler de ses conséquences et contraintes, comme une région mature devrait le faire.

PK Subban

Jamais, je n’aurais échangé PK. J’ai lu plusieurs textes sur le sujet depuis l’annonce de l’échange.

Ceci étant, quand tu as un tel pur-sang en ta possession, tu ne t’en débarrasses pas parce que tu n’es pas capable de le contrôler, surtout pas pour le remplacer par un cheval qui achève, mais s’il est plus docile.

Qu’est-ce que j’aurais fait dans ce cas? Ce que l’on fait dans les entreprises habituellement avec ce genre de cas: du coaching personnel. Michel Therrien est un coach de groupe et de hockey. C’est correct. Mais PK avait besoin d’un coach personnel pour lui enseigner l’art de vivre en groupe et les façons de canaliser son énergie en leadership positif. Bref, PK avait simplement besoin d’un bon psychologue. D’ailleurs, si vous allez voir au niveau du personnel hockey du Canadien (http://canadiens.nhl.com/club/l_fr/page.htm?id=66442), on n’y soigne que le corps et il n’y a personne pour l’âme.

Avant de mémoire, il y avait le nom de M. Sylvain Guimond de Saurel qui était associé aux Canadiens comme psychologue sportif. Celui-ci est peut-être toujours attaché aux Canadiens, mais son nom n’est pas sur la liste consultée.

Gardons le sourire! Bonne fête Canada, aux Canadiens et aux Canadiennes. Une grande nation. Ceci étant, le Canada est devenu pour moi avec les années, un mariage de raison. Le Québec est ma patrie et le Canada, une maison que je partage. En partageant des ressources communes, dont la répartition n’est pas toujours équitable, chacun y a trouvé un équilibre pour y mener sa vie et s’épanouir. Certes, dans un monde idéal, nous devrions être indépendants, mais il n’y a rien de parfait en ce bas monde.

Jocelyn Daneau, jocelyndaneau@gmail.com

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